On a testé le Monster Helly (17 x 4 cm) : et on a survécu. Enfin… presque.
Lola : Il faut qu’on vous raconte. Un soir, dans un excès d’enthousiasme (ou de lubrifiant), Jules est revenu à la maison avec un sextoy un peu... hors norme. Un genre de totem mythologique version phallique, droit sorti d’un rêve de dragonne lubrique.
Son petit nom ? Monster Helly.
Ses mensurations ? 17 cm de long pour 4 cm de diamètre.
Et là, je me suis dit : “Soit on l’adopte, soit on l’encastre dans le mur comme décoration fantasy.”
Jules : Perso, j’étais fasciné. On aurait dit un mix entre un tentacule, une matraque en silicone, et un trophée de chasse érotique. J’ai vu la ventouse et j’ai tout de suite imaginé… des usages créatifs.
Premier contact : “Ce n’est pas un gode, c’est une déclaration d’intention”
Lola : Le Monster Helly n’a pas besoin de faire de bruit pour s’imposer. Quand on le sort de son emballage, c’est un peu comme ouvrir une boîte de Pandore. Tu ne sais pas trop si tu vas crier de peur, de joie ou d’excitation.
Jules : En main, il est souple mais pas mou. Le silicone est très agréable, presque satiné, et la ventouse tient vraiment bien. Bon point : il ne sent rien. Et ça, c’est un détail qui fait toute la différence.
Le test (ou “comment j’ai appris à aimer les monstres”)
Lola : Spoiler : je n’ai pas tout pris d’un coup. Ni même au bout de cinq minutes. Ce genre de sextoy se mérite. Il demande du respect, du lubrifiant en abondance, et un mental solide.
Jules : En tant que spectateur attentif (et assistant lubrificateur en chef), j’ai vécu ça comme un film d’aventure. Suspense, tension, respiration… et victoire. Quand elle a réussi à insérer les deux tiers, je l’ai applaudie. Intérieurement. Parce qu’elle avait le regard de quelqu’un qui vient de chevaucher un dragon.
Lola : Ce que j’ai adoré ? Cette sensation de stretch progressif. Le gland est bien formé, les stries te font vibrer de l’intérieur, et la ventouse permet de jouer en solo sans mains. Parfait pour quand monsieur part acheter des croissants. (Ou une cage de chasteté.)

L’instant logistique (parce qu’après le feu, il faut laver l’arme)
Jules : Niveau entretien, c’est un jouet bien élevé. Il se nettoie à l’eau chaude et savon doux, sèche vite, et se range sans broncher.
Attention quand même : le silicone attrape les poussières comme un chat sa couverture.
Lola : Et évitez les lubrifiants à base de silicone, hein. C’est comme mettre de l’huile sur du satin : c’est une mauvaise idée.
Bilan à deux têtes (et une seule ventouse)
Critère | Jules | Lola |
---|---|---|
Design & originalité | 🐉🐉🐉🐉🐉 | 🔥🔥🔥🔥🔥 |
Sensations | (spectateur) | 💦💦💦💦☆ |
Accessibilité | 😳😳😳 | 😅😅☆ |
Nettoyage | 🧼🧼🧼🧼🧼 | 🧼🧼🧼🧼🧼 |
Rapport qualité / prix | 💰💰💰💰 | 💰💰💰💰 |
En résumé (avec notre bonne foi et nos bons fessiers)
Lola : Le Monster Helly n’est pas un sextoy du dimanche. Il ne s’adresse pas aux timides ou aux pressé·e·s. Mais si vous aimez les sensations pleines, profondes, hors du commun... vous allez l’aimer.
Jules : Et si vous cherchez un cadeau de Saint-Valentin à la fois sexy et intimidant… vous l’avez trouvé.
À essayer (ou dompter) ici :
Le Monster Helly est disponible sur BDSM-Univers.fr
Et si vous avez déjà testé une bête pareille, on veut vos récits ! (sans photos, merci.)